Voilà, PO&zik, dans sa formule dernière, s’arrête. L’art , c’est comme la vie. Fragile. Et puis, il faut laisser mourir les choses.
Martin Sadoux, le pianiste se sentait un peu las, n’avait que peu de retour sur la musique et voyait son piano un peu parqué dans un enclos.
Moi, j’ai envie d’aller partout, au contact des publics et de mettre la poésie là où on ne l’attend pas.
Un bel album et 2 cordels artisanaux dont un comporte un CD restent à vendre !
Son jazz n’accompagnera plus mes mots qu’en de spéciales occasions.
Nous essaierons d’offrir de sessions ponctuelles et rares pour concerts en appartements, soirées snobs et décalées, cocktails pas monotones ou autres estrades prestigieuses de l’oralité. Parlez-en, demandez nous.
Merci à ceux et celles qui nous ont encouragé, écouté et soutenu.
Merci Martin.