Voilà une encadreuse plus courageuse qu’une galeriste ! Habillant régulièrement mon travail, Mathilde Lebeau de l’atelier des Bateliers m’a gentiment proposé de montrer une des oeuvres récemment encadrée. Merci !
De grande taille ( 75 x 75 cm), l’oeuvre s’accompagne de ce petit mot :
Cette peinture, brute et délicate, aux pigments et couleurs inventées, fait partie d’un ensemble qui illustra spontanément les poèmes érotiques de Morgan Riet rassemblés sous le titre « Ça brûle ». Le corps est ici un paysage que l’on touche et que l’on sent. L’amour, un voyage. Matt Mahlen
« Ça brûle », Morgan Riet, - 36° édition, Les Bayards (Suisse) , 2012, .